vendredi 27 juillet 2012

Conduire aux USA

Rien de plus facile, quand on a réussi à immobiliser définitivement son pied gauche. Sauf dans les grandes villes, très peu de trafic, et tout le monde, ou presque, respecte les limitations de vitesse. Quant au GPS, il ne me sert que pour trouver les hôtels. Pour le reste c'est parfaitement inutile. La madame virtuelle vous dit: roulez sur la route une telle pendant 127 kilomètres (et pendant 127 kilomètres il n'y a pas de carrefour), et puis tournez à gauche; et à ce moment-là, vous voyez que la pancarte indique votre direction et que la madame virtuelle peut bien retourner se coucher. Tout est parfaitement indiqué, juste qu'il faut connaître les points cardinaux, car les routes sont désignées par leur numéro et leur direction, nord ou sud, est ou ouest.
Là où je cafouille, c'est à la pompe à essence. Mais il se trouve toujours quelqu'un d'aimable pour m'aider. Les Américains  sont charmants et généralement chaleureux. Belgique = chocolat et bière. Et comme ça, j'en viens à la bouffe.

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