mercredi 25 juillet 2012

Vol que j'aurais voulu sans histoire !

A Bruxelles, à part des mesures de sécurité de plus en plus contraignantes, tout se présentait bien. Le vol Bruxelles-Washington s'est révélé plaisant, pas trop long (7h30), confort acceptable, repas excellents, voisins polis, seul bémol, une  maman avec deux jeunes enfants qui ont braillé la moitié du temps. A Washington, excellente organisation pour le transfert, je me sentais en forme. Et puis les ennuis ont commencé...D'abord le vol Salt Lake a été annoncé avec une heure et demie  de retard - longue attente dans le lobby, et encore une heure supplémentaire sur le tarmac (j'ignore pour quelle raison), sans airco car l'avion était à l'arrêt. Quand finalement on a décollé, mes voisins étaient une femme voilée jusqu'aux yeux avec une petite fille infernale à la voix perçante, qui n'a pas arrêté de crier et de gigoter pendant tout le vol, malgré les méchants yeux de tout le monde et les remarques des hôtesses, si bien que la sieste a été impossible. Arrivée à la nuit à Salt Lake City, pour constater que c'est ici la fête de l'état de l'Utah (dont SLC est la capitale), et que c'est jour férié, et que tout le monde regarde le feu d'artifice. J'ai heureusement réussi à partager un taxi avec une charmante dame qui revenait d'Alaska (clin d'oeil à Luc), car j'ai bien sûr renoncé aux transports en commun. Le Plaza Hotel est en plein centre, il est confortable, chic et classe, et tout ce que je souhaite maintenant c'est un dodo, mais pas sûr qu'il se présente, vu que pour mon foutu organisme il est 8h du mat., que j'ai donc gagné 8 heures de ma vie mais perdu une nuit en route.
Vous excuserez l'absence de photo ce soir...

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